L’agitation joyeuse des manèges a laissé place à une rue balisée et des scellés de police. C’est dans cette atmosphère sombre qu’une enquête a été ouverte pour homicide involontaire à la suite du décès tragique d’une jeune femme de 27 ans. Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 avril, elle a été éjectée de son siège alors qu’elle profitait d’un manège à Blois, dans le Loir-et-Cher. Le manège en question était l’une des attractions les plus populaires de la fête, une toupie géante qui tourne sur elle-même. Les détails exacts de l’accident ne sont pas encore définis.
La municipalité de Blois a confirmé que le manège avait reçu toutes les autorisations nécessaires. Jonathan Dogan, conseiller technique à la mairie de la ville, a déclaré : "On se base sur des documents et ceux-ci étaient fournis, donc on considérait qu’il y avait matière à ce que ce manège puisse être là". Cette déclaration soulève des questions sur la rigueur des contrôles de sécurité des attractions.
Les enquêteurs vont procéder à l’expertise du manège dans les prochaines heures pour tenter de comprendre ce qui a pu se passer. Le propriétaire de l’attraction est actuellement en garde à vue au commissariat de Blois. D’autres informations sur cette affaire devraient être disponibles prochainement.
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