Des membres du collectif féministe Némésis, y compris leur présidente Alice Cordier, ont été violemment attaqués jeudi 27 juin lors d’une manifestation contre le Rassemblement national (RN) sur la place de la République à Paris. Les militantes avaient déployé des pancartes pour exprimer leur hostilité envers le Nouveau Front Populaire, ce qui a provoqué des réactions violentes de la part de certains manifestants.
Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des scènes de violence inouïe, où un agent de sécurité est roué de coups au sol par plusieurs individus. Ces images, relayées par Valeurs actuelles, ont choqué de nombreux internautes et ont mis en lumière l’ampleur de l’agression.
Dans un message publié sur X, le collectif Némésis a déclaré : « Les militantes du Collectif Némésis sont venues user de leur liberté d’expression pour rappeler ce qu’est vraiment le Nouveau Front Populaire : un ramassis d’agresseurs violents avec les femmes, des soutiens de terroristes, des antisémites ».
Choquée par la brutalité de l’attaque, la directrice de Némésis, Alice Cordier, a dénoncé l’agression menée par « des hommes de gauche » et a souligné l’ampleur de la violence. « On n’a jamais vu un tel déferlement de violence et de haine à une manifestation. […
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