Mise à jour il y a moins de 20 minutes, la situation en Ukraine reste tendue. La protection de la Transnistrie, un territoire à prédominance russe situé entre la Moldavie et l’Ukraine, est au centre des préoccupations de la Russie. Cette dernière a annoncé mercredi dernier que la protection des habitants russes de Transnitrie est l’une des ses priorités principales face à la pression croissante de la Moldavie.
Mercredi, le Premier ministre polonais Donald Tusk n’a pas exclu une fermeture temporaire de la frontière polonaise à l’échange de marchandises avec l’Ukraine, en réponse aux manifestations d’agriculteurs à grande échelle en cours dans le pays. Une mesure que Tusk a reconnu être une solution ’douloureuse’ pour les deux parties.
La Transnistrie, région séparatiste prorusse de Moldavie, est au cœur des tensions. Tusk a déclaré mercredi que les tensions dans cette région sont ’dangereuses’ pour la région et l’Ukraine. En outre, les autorités de Transnistrie ont officiellement demandé à la Russie de les protéger contre les mesures économiques de rétorsion prises par Chisinau.
Mercredi, le président ukrainien est en Albanie pour solliciter leur soutien dans la guerre contre la Russie.
Alors que l’économie mondiale est menacée par le conflit Ukrainien, plusieurs nations prennent position. Londres dément toute participation directe au ciblage par l’armée ukrainienne des objectifs visés par les missiles de longue portée, la Russie prévient de ’contre-mesures’. Pendant ce temps, l’Union européenne réfléchit à l’utilisation des avoirs russes gelés pour financer des équipements militaires pour l’Ukraine. Le président français Macron a lui évoqué l’envoi de troupes au sol en Ukraine, une idée refusée par plusieurs pays.
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