Le Mardi 13 mars a vu une victoire notable pour la majorité présidentielle qui a pu obtenir un vaste soutien de la part de l’Assemblée nationale pour l’accord stratégique entre la France et l’Ukraine, établi le 16 février. Sur le total, 372 législateurs ont approuvé le texte face à une opposition de 99. Les votes ont révélé une claire division où l’intégralité des députés de La France insoumise et communistes se sont prononcés contre l’accord. De leur côté, le Rassemblement national a choisi la voie de l’abstention, comme indiqué précédemment par Jordan Bardella.
Pour Clément Beaune, ancien ministre et député de Paris, le débat et le vote ont révélé un clair positionnement de chaque parti. Il a notamment ciblé la France insoumise, évoquant une "nostalgie de l’URSS" et une position "pro-Poutine". S’attaquant ensuite au Rassemblement national, Beaune a critiqué leur abstention sur un sujet aussi crucial que la sécurité de l’Europe et le soutien à l’Ukraine.
Poursuivant son analyse, Beaune s’est attaqué de manière plus virulente au Rassemblement national, le décrivant comme "un parti du rien, du pas de vague, du vide". Il a reproché au parti de se retenir d’exprimer des opinions de peur de mettre en péril leur popularité. Par contraste, il a félicité La France insoumise pour avoir exprimé clairement leur position, bien qu’il ne soit pas d’accord avec celle-ci.
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